Autant je suis en désaccord avec la trop fameuse « écriture inclusive » – j’en dirai un mot en fin de texte, autant il me semble que l’on devrait plus souvent remplacer la simple mention des « hommes » par celle des « hommes et des femmes ».
Ainsi notre Évêque, dans un texte lançant une réflexion diocésaine (‘ »synode »), utilise l’expression (un peu bateau) « être attentif à la peine des hommes ». Cela m’a gêné: voilà bien un cas où il aurait été approprié de parler de la peine des hommes et des femmes… Elles en ont largement leur part, non?
Pourquoi je suis contre l’écriture inclusive? D’autres l’ont dit mieux que moi; c’est remplacer la langue, et sa souplesse, par une algèbre de parenthèses qui est complètement artificielle. C’est détruire la langue.