Le prêtre, dans son homélie d’aujourd’hui, a parlé des différents « casiers » que nous avons dans notre coeur: il y a le casier des gens que nous aimons bien, et nous ouvrons souvent ce casier là; et puis il y a peut-être d’autres casiers, notamment un avec les gens que nous n’aimons pas: et ce casier-là est bien fermé; nous ne l’ouvrons pas souvent; peut-être même en avons nous perdu la clef.
J’ai alors pensé aux calendriers de Noël que l’on donne aux enfants, avec leurs petites fenêtres que l’on ouvre jour après jour.
Et j’ai imaginé notre coeur comme un calendrier de Noël, avec toutes sortes de fenêtres, à ouvrir jour après jour…
Les fenêtres de notre coeur, en somme, à ouvrir toutes, vers tous les hommes.