Les textes d’aujourd’hui (Lundi de la 34° semaine année A) comprenaient le début d’Apocalypse 14 et le commentaire de Jésus sur la piécette de la veuve (Luc 21).
Sur cet évangile, le prêtre a fait remarquer que Jésus voit les petites choses, les choses cachées; nous avons tendance à voir chez les autres ce qui est le plus visible, et qui éventuellement ne nous plaît pas, au lieu de savoir apercevoir les choses plus cachées qui font la valeur de la personne.
D’autre part il a suggéré que, pensant à cette pauvre femme, nous sachions offrir nos pauvretés à Dieu; que nous n’hésitions pas à le faire, à nous présenter comme nous sommes.
Sur l’Apocalypse enfin, où les 144 000 chantent « un chant nouveau » que personne ne peut apprendre, il a suggéré que si un tel chant ne peut être appris, c’est qu’il est personnel; qu’on ne peut pas le partager. Et il a pris la comparaison des vierges sages et des vierges folles: l’huile qu’elles ont chacune est pour elle-même, pas pour une autre. De même le chant de chacun lui est propre.
Comment ne pas penser au « chant en langues », la messe ayant lieu dans cette communauté charismatique qu’est le Chemin neuf!